Son architecture harmonieuse, ses rues animées, sa douceur et le dépaysement qu’elle offre sont autant d’éléments à prendre en compte pour un investissement locatifs. Dans le cadre d’une opération immobilière, Tours présente aussi l’avantage de garantir des perspectives patrimoniales, des rendements intéressants et un taux d’occupation élevé. Dans le cadre de l’acquisition d’un bien, notre expert Roc’h de Salins vous accompagne et vous propose d’investir dans 4 quartiers qui forment le cœur de la cité.
Le quartier des Halles
De la rue du Commerce à l’église à Notre Dame La Riche et de la Loire au boulevard Béranger, ce quartier constitue une partie du centre historique de Tours. Très touristique, ici tout se fait à pied. En effet, cet emplacement fait la part belle à l’Histoire comme la Tour Charlemagne, la Basilique Saint-Martin et la place Plumereau. Principalement résidentiel, certaines rues médiévales et les Halles sont connues pour regrouper les meilleurs lieux de sorties de la ville. Très animé à la nuit tombé, idéal pour la détente en journée, on y retrouve aussi des boutiques en tout genre. La population qui habite dans ce secteur rajeunit. Elle est principalement composée de familles, de jeunes actifs et d’étudiants.
Côté architecture, plusieurs époques se côtoient. Les maisons à pan de bois et les hôtels particuliers partagent le pavé avec des immeubles d’habitations plus modernes. Le tout compose un ensemble harmonieux et agréable, où il fait bon habiter. Ce quartier est idéal pour la location meublée non professionnelle (LMNP) mais aussi pour la location courte durée. Cette partie de la ville étant une des plus anciennes, il faut souvent envisager des travaux pour bénéficier d’un meilleur DPE. Ainsi, dans le cadre d’une acquisition comptez pour ce quartier entre 3 400 et 3 600€ du m².
Le quartier de la Cathédrale
De la rue Nationale au Parc Mirabeau et de la Loire au boulevard Heuretloup, ce quartier constitue lui aussi une partie du centre historique de Tours. C’est un lieu touristique de premier plan où vestiges Gallo-romain, Moyen-Âge et Renaissance se côtoient autour de la cathédrale Saint-Gatien. Du château jusqu’au Grand Théâtre, la rue Colbert est l’artère où bars et restaurants donnent une identité singulière à ce secteur de la ville. Le rythme de vie y est calme, mais certaines rues piétonnes donnent la possibilité aux habitants de fréquenter des lieux de sortie plus animés. Proche des boutiques de la rue Nationale et de la gare, on retrouve une population familiale, active et étudiante.
Au même titre que le quartier des Halles, comptez ici 3 400 ou 3 600€ du m². On y croise des immeubles de style haussmannien, des hôtels particuliers et des construction récentes. Il vous sera possible d’acquérir des biens immobiliers T2 ou T3 idéalement placés. Le quartier cathédrale est une des parties de la ville les plus anciennes. A ce titre, dans le cadre d’un investissement locatif, il vous faudra parfois envisager des travaux pour proposer un appartement avec un bon DPE. Les demandes de logement y sont légion, la location meublée non professionnelle (LMNP) et la location courte durée ont ici toute leur place.
Le quartier des Prèbendes
Depuis la rue Giraudeau jusqu’à l’avenue de Grammont et du boulevard Béranger jusqu’au boulevard Jean Royer, c’est le quartier huppé de la ville. Partie intégrante du centre-ville de Tours, c’est le secteur familial par excellence. Il règne ici une vie de quartier détendue, autour de l’emblématique parc du même nom. Calme et sérénité sont de rigueur. A deux pas des commerces de proximité et des lieux de sorties, la gare y est accessible à quelques minutes à pied. A noter que la population à cet emplacement se renouvelle, on y retrouve la présence de jeunes couples et de jeunes actifs.
Bordé de maisons typiques de la région appelées « particuliers tourangeaux », ce quartier est composé d’environ 25% d’immeubles d’habitations. C’est un lieu recherché pour son rythme paisible et l’acquisition de T2 ou T3 est chose courante. Dans le cadre d’un projet immobilier, il est possible d’acheter des appartements ou même des immeubles en monopropriété. L’investissement locatif dans ce secteur est l’assurance d’un superbe investissement patrimonial et d’une rentabilité intéressante. Pour cela, comptez environ 3 600 à 3 800€ au m². Enfin, la tension locative garantit à coup sûr des logements occupés.
Le quartier de la gare
Collé au quartier cathédrale, encadré par l’avenue de Grammont et le quartier Velpeau, ce secteur de la ville est un des plus dynamiques. Depuis la gare, vous êtes à quelques minutes de toutes les commodités et lieux de sorties que peut offrir l’agglomération tourangelle. Contrairement à 80% des villes françaises, celui-ci est très coté. En effet, c’est un quartier vivant et sûr. A ce titre, de nombreux cadres parisiens font le choix de l’abonnement télétravail à seulement 99€ par mois pour arriver à Montparnasse en seulement 1h. Côté population, celle-ci est jeune et active. Occupé par des immeubles de standing et des maisons, il offre un large choix d’opportunités immobilières. Pour un investissement locatif, retrouvez ici des T2 et T3 à partir de 3 700€ du m². C’est un secteur idéal pour proposer une location longue durée. Au même titre que les autres secteurs de Tours, le marché locatif reste tendu. Le taux d’occupation y est élevé et la demande de logements n’est pas près de diminuer. Pour plusieurs biens, la rentabilité présente des perspectives intéressantes. Toutefois, l’acquisition d’un appartement doit avant tout être vue comme un placement sur le long terme.
En résumé, le principal intérêt d’un investissement à Tours est qu’il n’est pas obligatoire d’aller en périphérie pour obtenir de bons rendements. C’est une ville qui promet de très belles opportunités. Dans le cadre d’une démarche d’acquisition immobilière, il faut avant tout garder en tête une vision patrimoniale. La tension locative importante est liée à deux facteurs. Le premier est géographique, la ville entourée par la Loire et le Cher ne peut pas grandir. Le second est lié au DPE, le nombre d’appartements remis sur le marché ces dernières années est moins élevé. La cause ? Le coût élevé des rénovations dans quelques secteurs dits « anciens » ralentis le retour sur le marché de certains logements.